28 avril, dimanche de la Miséricorde, une cinquantaine de paroissiens se mettent en route pour le sanctuaire Marial de PONTMAIN !
Après le visionnage d’un dessin animé racontant les apparitions de la Vierge à 4 jeunes enfants de ce petit village, Françoise, Jeanne-Marie, Joseph et Eugène, nous nous rendons à la grange pour découvrir les lieux réels de ce miracle qui dura 3 heures seulement !
Après la découverte de ce message de PONTMAIN, les pèlerins se retrouvent pour un temps de réflexion.
Les familles s’interrogent sur « En chacun de nous, il y a du beau, du bon, du bien : trouver 3 qualités à chacun des membres de notre famille et les partager. Qu’est-ce que le Seigneur a donné de beau à notre famille que nous pouvons faire grandir ? : L’accueil, le service d’église ou autres, la Prière, l’amour de la Vierge Marie, l’amitié, la joie…. »
... et les paroissiens sur « En chacun de nous, il y a du beau, du bon, du bien : trouver 3 qualités à chacun des membres de notre groupe et les partager. Qu’est-ce que le Seigneur a donné de beau à notre paroisse que nous pouvons faire grandir ? : L’accueil, le service, la prière, l’amour de la Vierge Marie, l’amitié, la fraternité, la joie…. »
La journée se termine après le repas partagé, un temps libre de visite des lieux dont la Basilique et la Célébration de l’Eucharistie où le Père Yannick nous encourage à rentrer chez nous renouvelés de ce message de notre Mère. Mais au fait quel est ce message ?
En ce 17 janvier 1871, les paroissiens de Pontmain doutent : « Prier ne sert à rien »
Alors Marie apparait, elle sourit. Eugène, Joseph, Jeanne-Marie et Françoise la contemplent 3h.
Marie attend 1h. C’est la patience de Dieu Père, qui attend son enfant.
La Prière continue. Marie grandit. Les étoiles se multiplient sur sa robe.
La prière permet de voir Dieu de plus en plus beau ; pas que pour obtenir satisfaction.
Marie est triste. La Croix apparait. Avec la prière, l’espérance revient.
« C’est tout fini » disent les enfants. Chacun retourne chez soi le cœur en paix.
Cela a été possible car le prêtre les y avait préparés : « A Jésus par Marie »